Comment apprendre à décider sans prise de tête ?

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« Comment Apprendre à Décider sans Prise de tête  ? »  

Comment prendre des décisions sans avoir un esprit perturbé par les choix difficiles. La stratégie décisionnelle particulière
Comment prendre des décisions sans avoir un esprit perturbé par les choix difficiles. La stratégie décisionnelle particulière
   Le choix de prendre une décision est parfois vécu par certaines personnes, peut-être vous, comme un élément difficile, voire impossible à franchir …
 
   Si vous êtes dans ce cas, vous risquez de vous retrouver au même point dans quelques mois, voire quelques années …
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   Or, des décisions, vous en avez à prendre souvent !
 
   Si vous faites partie de ces personnes qui souffrent d’indécision chronique, je vais vous fournir une » clef » pour vous affranchir à jamais de ce problème et, enfin utiliser son pouvoir décisionnel qui vous fait tant défaut.
 
 

 # Mais qui à mis dans nos têtes, l’idée absurde qu’il y avait toujours une bonne ou une mauvaise décision

    Comprenez que dans un choix a faire, il n’y a pas qu’une décision bonne ou mauvaise. C’est une idée fausse que de croire cela.
 
   En réalité, vous pouvez donc prendre une orientation, ou une autre, et que, finalement, vous atteignez votre but au final.
 
   Quand vous devez prendre une décision qui vous semble difficile, ou vous « obsède », pensez que si vous devez vous rendre dans un lieu, vous pouvez prendre différentes options ; plusieurs chemins, plusieurs routes.
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   Mais, au final, elles vous mènent à votre destination. Ce qui compte n’est pas de se laisser enfermer dans une impasse imaginaire qui veut que l’on doit prendre le bon chemin (donc la bonne décision).  En réalité, il y en a souvent plusieurs. 
 
 

La technique que je vous expose a montré des résultats positifs sur des milliers de gens qui souffrent d’un manque d’esprit de décision.

On part du postulat que l’indécision est un processus psychologique complexe dans le cerveau. Or, ce processus peut s’aggraver si on laisse les tergiversations s’auto alimenter. En clair, plus vous laissez de temps entre la proposition de choix et la décision, plus vous laissez votre cerveau analytique se poser des question sans fin, du style :

« Bon, si je prends cette voie, je risque de… »
« Oui mais entre temps, si je prends cette autre solution, je crains que … »

Bref, un cercle infernal se créé et s’amplifiera jour après jour comme une seconde habitude néfaste. L’indécision chronique est la conséquence fâcheuse.

La solution est de vous donner un temps limite ! Par exemple 7 secondes maximum.

Concrètement, vous vous obligez à prendre (au début des décision sans grande importance) en moins de 7 secondes. Puis, quand l’habitude est prise, vous le ferez pour des décisions un peu plus difficiles.

Didier Pénissard en développement personnel
Didier Pénissard coach en développement personnel

Didier Pénissard coach
 Fondateur de developpement-personnel-club.com et Auteur

 # Détendez-vous ! Vous avez PLUSIEURS choix qui tendent vers le même but

   Dans le choix décisionnel, c’est la même chose. Oubliez cette « fausse croyance » (qui vient de loin) : 
 
    – « Attention si tu te trompes ».
 
   On a entendu cela dans l’enfance. Et cela marque encore aujourd’hui votre esprit. La peur de se tromper !   Donc, vous vous déculpabilisez en prenant une décision, sachant que toutes manières, il existe plusieurs choix pour y parvenir. Vraiment plusieurs ! 
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    Vous ne vous trompez donc pas !  Vous avez pris une voie différente.
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   Je lisais il y a quelques jour une revue scientifique, où un chercheur constatait que ses recherches ont aboutis au même résultats qu’un de ses confrères étranger. Mais, il reconnaissait qu’ils n’avaient, l’un et l’autre, pas choisi la même destination d’étude initialement.
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   Mais, au final, ils sont arrivés à des conclusions identiques. 
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Les lecteurs de cet articles ont aussi appréciés ceci =>
L’état d’esprit indispensable pour prendre vos meilleures décisions(S’ouvre dans un nouvel onglet)
 

#  Ayez la conviction qu’il existe plusieurs décisions possibles pertinentes 

     Acceptez donc une nouvelle conviction :
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   Vous avez plusieurs solutions, plusieurs choix, plusieurs décisions pour résoudre ce qui vous préoccupe. Ne restez pas figé avec cette peur absurde que vous n’avez qu’un seul choix. 
 
   Je vous conseille ceci :
 
   – Remplacez le mot décision, par « prendre une voie » !
  Vous prenez une voie… parmi tant d’autres qui mènent de toutes manières, l’une ou l’autre à votre but. Dîtes-vous intérieurement :
 
   –« Je choisis cette option, parmi d’autres, pour atteindre cet objectif ! » 
 
Voici un moyen efficace pour ne plus vous « ronger » intérieurement d’un manque d’esprit de décision.
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Cas concret ! Mélanie de Bordeaux me contacte pour une session de coaching en ligne. Son problème est qu’elle est profondément dans l’indécision. Ce qui engendre un conséquence facheuse ; elle remet à plus tard les priorités importantes.
Son message s’articule autour de cette question : « Que faire lorsque je procrastine à cause de mon indécision ? »
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L’indécision et la procrastination sont souvent liées. Lorsque l’on règle l’une des deux, en général on règle l’autre. Donc il vous faut d’abord identifier si vous être indécis(e) par procrastination ou bien procrastinez-vous parce que vous tergiversez sans cesse pour prendre la moindre des décisions.
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Je conseille néanmoins ce ceci :
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1. Apprenez à prendre des petites décisions rapides chaque jour. Celles qui ne vous engagent pas trop ni trop loin. Le fait de décider pour des petits choix, engendre une habitude à votre cerveau, celle de décider.
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2. Fixez-vous une limite de temps pour décider. Donnez-vous une heure limite pour la prendre.
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3. Apprenez à changer votre perspective de la décision. On décide vite si on « aime » décider. Donc, dites-vous souvent, régulièrement et même en vous endormant « j’ai de plus en plus décider, car quand je décide je suis maître de mon destin ».
 
(c) Didier Pénissard Coach
Devenez la personne que vous rêvez d’être
 
Didier Pénissard, coach explique de manière pédagogique comment apprendre à décider en confiance
Didier Pénissard, coach explique de manière pédagogique comment apprendre à décider en confiance

 >>> Vidéo Gratuite ! Comment Prendre des décisions … sans hésiter:
Cliquez ici pour la visionner ICI :
 

18 Commentaires

  1. Bonjour Didier,Je viens tout juste de visionner votre télé-conférence sur la prise de décision. C’est très bien fait. Le problème majeur dans notre société c’est le concept de bien et mal, faux vrai, bon pas bon. Ce sont des absolues qui tuent la créativité et surtout la confiance en soi.Votre vidéo met la hache dans ses vieux stéréotypes qui hante notre société et surtout le système scolaire qui sème ce genre de paradigme. Votre vidéo nous suggère de travailler de manière globale et que pour atteindre un objectif que l’on se fixe sera composé de différente décision intermédiaire qui ensemble va contribuer a l’atteinte de notre objectif.
    Vous avez parfaitement raison il faut s’isoler et s’arrêter pour réfléchir. À l’heure de l’internet et iPhone et ipad nous finissons par ressemble a des caisses de résonance. Notre réflexion rebondie selon les perceptions et les modes du moment…Votre approche est sage et humaine. Elle permet de gérer et d’adresser en même temps le stress ainsi que de relativiser l’échec et le succès en même temps. Il faut comprendre qu’un objectif à un point de départ et aussi son point d’arrivée.Un objectif est composé de plusieurs états décisionnels qu’il nous faudra prendre en considération en cours de cheminement. Nous sommes trop souvent centrés sur des absolus plutôt que sur des états de changements intermédiaires. C’est comme un joueur de tennis qui passe son temps à regarder le tableau d’affichage plutôt que sa manière de jouer (processus). Nous connaissons notre point de départ, mais si nous ne prenons pas en compte les autres facteurs décisionnels qui peuvent influencer notre objectif final nous nous en allons tout droit vers des échecs répétés.

    Nous devons tout mettre en œuvre pour enseigner cette approche dans les écoles ainsi que dans le monde du travail. Je crois que les académiques ont fait beaucoup de dommages dans notre société.

    Votre vidéo était très agréable à entendre et à voir. Je voudrais savoir si vous avez une liste de vidéo comme cette dernière que je peux regarder. Je voudrais votre numéro de téléphone pour vous rejoindre. Mon numéro est 613-702-3700.

    Merci pour votre travail…Cordialement

  2. , pour la communication, une décision à prendre, mais enfin de compte, ce n’est pas aussi facile, que vous nous l’aviez expliquer, merci Didier

  3. comme par exemple prendre une décision, ça dépend le degré de la décision à prendre, et lorsque vous nous inviter à prendre un avis ou un conseil d’une tiers, vous pensez qu’à nos …Voir plus. Mais je suis tout a fait d’accord avec vous, quand vous dites, une décision à prendre , mauvaise ou bonne, en fin de compte c’est une décision

  4. je voudrais juste ajouter, que vous etes quelqu’un de géniale, et j’apprécie toujours ce que nous recevons de votre part, et surtout Didier , j’attends et à titre privé, le conseil que je vous ai demandé. J’espère que c’est la bonne réponse à votre question

  5. @Malika, Eh bien c’est le contraire ! Les personnes d’expérience ADORENT transmettre leurs savoirs. Il faut OSER leur demander de façon intelligente. En leur rendant un petit service AVANT de les solliciter.

  6. Est-ce que ce que vous dites est valable uniquement pour les grandes décisions importante ?
    J’ai tendance à trop réfléchir avant de décider mais pour des petites décisions sans grande importance mais j’veux absolument bien faire donc je fini toujours par craquer lol c’est embêtant..

  7. il faut avoir les nerfs solide Arben, enfin de compte, tu n’as qu’à suivre les conseils de notre Ami Didier, et tu finiras par te retrouver

  8. Merci, car je suis quelqu’un d’hésitant dans mes choix (petit, moyen ou important) et c’est pas facile à chaque fois. Je manque de spontanéité dans mes décisions. Je vais voir ce qu’à fait Didier

  9. @Arben, voici mon conseil si vous avez tendance à être un « hésitant chronique » :1. Apprenez à prendre des petites décisions faciles (celles qui n’engendrent que des mini mini risques.2. Puis, peu à peu, fixez-vous un délai de 3 minutes MAXI pour prendre ces « petites » décisions.3. Enfin, quand vous commencerez par vous forger une nouvelle attitude de décideur, augmenter le niveau de risque très progressivement, avec toujours, ce délais de 3 minutes maximum.

  10. Bonjour M.Penissard,
    C’est avec intérêt et empressement que j’ai visionné votre vidéo sur « comment prendre une décision sans hésiter » car la prise de décision est un de mes points faibles qui m’empoisonne l’existence (en plus je suis de signe astrologique balance et j’avoue toujours peser le pour et le contre en toutes circonstances!). J’ai réalisé il y a quelques temps avec un thérapeute (psychophanie) qu’il n’y a en effet pas forcément une bonne et une mauvaise décision. Malgré tout je ne suis pas d’accord avec l’idée que qu’elle que soit la décision elle mène en effet à Rome. Et dans le cas où elle permet d’atteindre l’objectif, la notion de temps est primordiale! Votre exemple sur le trajet Bordeaux-Paris: en effet même en prenant les petites routes nous arrivons quand même à Paris. Seulement si notre besoin est d’arriver à Paris en 5h, il n’y a qu’une alternative possible: l’autoroute, et toutes les autres possibilités, je les considère comme des « mauvais choix », d’où l’importance et l’angoisse de faire le bon!!!
    Par exemple, si un des objectifs est l’avancement professionnel, il n’est pas intéressant de savoir que toutes les décisions permettront d’atteindre l’objectif si c’est en 20 ou 30 ans! Ce qui semble important à mon avis c’est de trouver le chemin qui permette d’atteindre cet objectif dans un délai (subjectif) rapide. Personnellement atteindre mon objectif par la plus petite porte me fait ressentir que je n’ai pas pris la meilleure décision au moment où le choix se présentait (et ie le vis comme un échec) et les conséquences sur le long terme sont capitales.
    Autre exemple, quel état d’esprit aborder quand on doit prendre la décision d’avorter ou non. Quand cette question s’est posée pour moi il y a 3 ans, j’ai commencé par peser le pour et le contre–> match nul. Je me suis documentée –>entre les pour et les contre l’avortement ça ne m’a pas aidé à me décider. J’ai tenté l’approche rationnelle, financière et pragmatique –> sans succès. Je me suis isolée des heures durant pour faire le vide sans ma tête et écouter ma petite voix de l’intuition –> pas convaincue! Dans cet exemple précis, la notion de temps était primordiale puisque si le choix est l’avortement il n’y a que quelques jours voire semaines pour se décider. Et si on fait exprès d’occulter ce facteur temps et que l’on dépasse le délai légal pour avorter, le fait de garder l’enfant n’est pas le résultat d’une décision mais d’une obligation liée au contexte.
    Encore aujourd’hui je ne sais pas si j’ai pris la bonne décision et je n’ai pas du tout le sentiment d’avoir intimement bien choisi!!!
    Aussi votre vidéo est très intéressante mais ne m’a pas convaincue que lors de ma prochaine prise de décision j’arriverai à la faire sans hésiter!!!
    Au plaisir de vous lire, Bien cordialement

  11. @Anaïs, vous prenez un cas extrême, l’avortement qui ma part dépasse la notion de prise de décision car ici, on accède à une prise de conscience (ce qui n’est du même niveau que la décision). La conscience est une affaire personnelle (donc d’opinion) et donc ne trouve pas matière au développement personnel. En revanche, et là j’ai une divergence avec vous sur la notion de rapidité. Vous parlez de 20 à 30 ans… Diable, pourquoi si long. Je peux vous dire de part ma longue expérience, que l’immense majorité des personnes que je connais et qui ont rencontré un problème d’indécision réagissait comme vous :
    « Mais il faut prendre la décision la plus rapide »
    FAUX !
    Une décision peut très bien avoir son propre timing accosté à vos progrès, vos croyances, votre propre avancement et donc votre propre rythme qui ne doit pas être comparé systématiquement avec celui du voisin. Mais, le plus incroyable n’est pas là. J’ai rencontré encore la semaine dernière à Paris une personne qui pensait comme vous (le temps le plus rapide du résultat) et qui en réalité à mis 7 ans pour prendre une décision. … 7 ans alors que la notion de délai était son critère unique !!! je peux vous assurer que si elle avait choisi 7 ans auparavant une décision avec un long délais de réalisation (les fameuses petites routes dont je parle dans la vidéo) elle aurait atteint son but en 2 ans ou 3 ans maximum a-t-elle reconnu avec beaucoup de scrupules (mais n’aurait pas attendu 7 ans pour prendre sa décision). Ne pas décider vous fait perdre Anaïs infiniment plus de temps que les « petites routes ».

  12. Bonjour Monsieur, J’ai bien reçue la vidéo qui est très intéressante et je vous en remercie. Pour mémoire :
    1) collecter les informations auprès des sachants,
    2) se donner un temps donné pour prendre la décision
    3) s’isoler pour réfléchir intensément à la question
    4) prendre enfin la décision tout en se disant qu’il n’y a pas de mauvaise décision.

    Le dernier point me laisse perplexe et je dois dire que je ne partage pas votre opinion, même si je comprends ce que vous voulez dire et que c’est intelligent.
    Un exemple. Vous souhaitez acheter un appareil photo. Vous avez envie d’un reflex. Vous fixez votre choix sur le Nikon 5300. Il y a un hic malgré votre envie, vous savez que cet appareil comme tout appareil réflexe est lourd, imposant et qu’il risque de ce fait de rester, peut être, à la maison. Pour pallier ce point, il faudrait plutôt choisir un appareil moins encombrant mais… forcément beaucoup moins performant et réactif.
    Imaginons que votre envie est plus forte que la sagesse et que vous achetiez l’appareil réflex, et qu’au bout du compte, il reste à la maison. Cela engendrera un sentiment de culpabilité, entre autres : argent jeté par la fenêtre, mauvais choix et, en prime, mécontentement de soi. Ce cas n’est pas bien grave car on est là dans le domaine du loisir. Mais, il y a des décisions plus lourdes de conséquences (choix dans sa vie sentimentale, stratégie au travail où le client ne pardonne pas le « mauvais choix ») et, à mon humble avis, on peut malheureusement prendre de mauvaises décisions.
    C’est pour cela que c’est si difficile de prendre une décision. Bien à vous.

  13. @ Orly bien entendu que l’on peut prendre de mauvaise décision. Mais, ce n’est pas du tout ce que je veux dire, c’est qu’il existe PLUSIEURS solutions qui mènent à la même solution; IL n’y a donc pas forcément UNE bonne décision (comme la majorité de gens pense à tort)

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