« Voici Pourquoi vos Principales Croyances Peuvent vous Aider à Réussir «
Si vous entretenez des convictions fortes par rapport à votre activité, sachez que celles-ci peuvent vous aider à réussir. Mais, elles peuvent tout autant vous plonger dans l’échec.
Nous avons tous des croyances, par rapport à nos ambitions, nos perspectives, nos choix. On l’exprime (ou on l’affirme) parfois avec des injonctions simplistes, comme :
« Je crois à ce projet, dur comme fer »
Ou encore,
« Ce défi, je le sens bien »
Cliquez pour lancer la vidéo. Didier Pénissard vous apporte des réponses sur le pouvoir de vos propres convictions – et peuvent vous aider à réussir.
# Une forte conviction peut faire ou défaire les plus belles initiatives
C’est ainsi que dans mon quartier où j’habite, j’ai pu constater la toute-puissance d’une conviction « cheviller au corps » de deux patrons d’un bistro.
Le premier était devenu le nouveau propriétaire de ce bistro. Jusqu’ici, rien de particulier dans son installation les premiers mois. Puis, à cette période de ma vie, je proposais des sites Internet / vitrine pour des petits commerçants. L’idée d’aller le voir pour lui proposer de lui ouvrir une page Web pour son bistro m’avait traversé l’esprit.
Je me rends donc chez lui. Très vite, j’ai pu constater que notre jeune patron entretenait des convictions très solides – et particulièrement négatives sur son affaire.
En l’interrogeant sur les raisons de sa conviction, j’ai pu lister en quelques minutes ces propres croyances et me faire une idée de sa situation future pour ses affaires :
« Il n’y a aucune perspective dans ce quartier »
« La majorité des gens ont un faible pouvoir d’achat ; ils ne viendront pas le soir prendre un verre à mon bistro »
« La population ici est trop âgé. La plupart sont des retraités »
# Sa conviction l’enfermait dans un échec certain
Je passais régulièrement devant son bistro, me rendant à mon domicile.
Et plus les jours passaient, et plus notre petit bistro de quartier était de plus en plus vide. Certains soirs, le patron fermait très tôt, faute de client. Ses arguments convaincu qu’il m’avait débité quelques mois auparavant devenaient la bien triste réalité.
Comme une forme de prophétie auto réalisatrice, les faits commençaient par lui donner pleinement raison.
A la fin de l’année, ses affaires allaient de plus en plus mal. Plus personne n’entrait dans son bistro. La faillite devenait incontournable. Lorsque j’ai pu le rencontrer à nouveau un soir où il commençait à déménager ses meubles, il se confortait comme il pouvait en ajoutant :
« Je l’avais bien dit, cette affaire je ne la sentais pas… »
# Un nouveau patron reprend l’affaire avec un état d’esprit totalement inversé
Quelques mois plus tard, à ma surprise je constate qu’une petite affiche était de nouveau posée sur la vitrine du bistro. Elle indiquait :
« Réouverture le 1er mars »
Étant peu au fait des perspectives ou non, ou de la pertinence de ré-ouvrir ce type d’activité dans un quartier jugé très difficile par son prédécesseur, j’en restais curieux.
Alors, j’ai voulu connaître ce nouveau patron. En me rendant chez lui, devant un café, ma surprise fut totale. Son langage vis-à-vis des perspectives qu’il entrevoyait pour son affaire étaient à l’opposé de ce que j’avais jusqu’ici entendu…
« Il y a de belles perspective dans ce quartier »
« Je n’ai quasiment pas de concurrence à moins de 3 km »
« Les gens ont du temps pour lire leur journal chez mois ; ils consommeront chez moi … »
Bref, à ma stupéfaction, notre second patron avait une conviction tout aussi forte que le précédent, MAIS à l’opposé.
# Les faits lui ont donné raison !
Très rapidement, notre jeune patron de bistro a commencé par innover.
Il n’y avait pas un mois sans que de nouvelles pancartes sur la vitrine du bistro indiquent de nouveaux petits services de proximité. Ces services permettant à la population de pouvoir se dépanner pour des achats courants, sans avoir à se déplacer.
Chaque vendredi soir, son bistro faisait le plein. Son idée était simple :
« Une soirée à thème était proposée et à chaque fois différente ».
Rapidement, par le bouche-à-oreille, des jeunes venaient passer leur soirée de fin de semaine et s’amuser à cette soirée du vendredi à thème. Puis, ce fut les réunions du Maire de ma ville qui se tenait là pour faire des rencontres citoyennes.
Aujourd’hui, à l’heure où j’écris ces quelques lignes, notre patron de bistro de quartier est un homme heureux. Son affaire est prospère.
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Attention à vos croyances pour qu’elles n’entravent pas vos réussites futures Par exemple, j’ai lu un message qui m’est adressé en me disant en gris ceci : Je dis attention à ce type de croyance ! On vit (et vivra) suivant nos croyances que l’on alimente chaque jour un peu plus. Les personnes qui réussissent leur vie ont tendance à développer des croyances plus dynamisantes, comme par exemple : Didier Pénissard coach |
# Vos convictions forgent votre devenir
Pour avoir vécu de près cette histoire, je ne peux que vous faire prendre conscience de la toute-puissance de vos croyances.
Il serait utile de prendre un peu de temps et d’oser faire le point sur vos propres convictions actuelles. Tentez de sonder au plus profond de vous-même celles que vos entretenez régulièrement pour :
– Vos propres affaires,
– Vos projets,
– Vos ambitions,
– Votre activité, etc.
Sachez que rien, ni personne ne peut vous maintenir dans une croyance, aussi limitante soit-elle. Vous pouvez en changer à tout instant. Alors, que cette histoire de ces deux patrons d’un bistro de quartier vous serve de belle leçon.
Sondez bien vos croyances pour constater, si ou ou non elles peuvent vous aider à réussir.
Car, souvenez-vous que vos convictions maintenues, entretenues finissent à un moment ou l’autre par forger votre devenir.
(c) Didier Pénissard Coach
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Tout à fait d’accord. Une bonne conviction est un très bon atout pour se lancer dans ce qu’on entreprend, il y a plusieurs sortes de manager, de personnes qui ont leur conviction. C’est comme si on pourrait façonner sa réussite à sa façon. Merci pour cet article, ça nous boost le morale.
En effet, débuter un nouveau projet avec des croyances limitantes ne nous permettra pas d’exploiter notre plein potentiel et nous avons de grandes chances d’auto-saboter notre propre projet, comme très bien décrit dans cet exemple avec le bistrot.
Pour ma part, pour tout projet, je me rends compte que je suis obligée de me « forcer » à créer des croyances positives comme » je vais réussir « , » je suis géniale, mon projet va forcément marcher « …
Car malheureusement, je me suis rendue compte que la société dans laquelle nous évoluons nous forge beaucoup de croyances limitantes. Si nous récoltions un euro à chaque fois que nous entendons » Tu n’y arriveras jamais « , nous serions déjà riches depuis longtemps !
Merci pour cette vidéo Didier qui illustre bien le pouvoir des croyances.
Ce que j’ai trouvé intéressant dans cette histoire c’est que les croyances créent certains comportements qui à leur tour créent le terrain idéal pour que la croyance se matérialise. En commençant à fermer plus tôt son bistrot, le premier patron a certainement accéléré l’échec de son projet.